1985. Mémé Lucienne a cessé de vivre. Martine revient sur la vie de celle qui lui a offert une enfance.
En 1912, âgée de vingt ans, Lucienne a quitté Neuillé-sur-Racan pour Paris. Dans la capitale, elle a rencontré Georges avec qui elle s’est mariée, après la Première Guerre mondiale. Fils d’épicier, son amoureux a pris la succession de son père, en 1930. Ils étaient heureux, mais hélas, aucun enfant n’est né de ce bonheur. En juin 1944, un bombardement allié a détruit leur commerce. Ils n’avaient plus rien. Le couple s’est alors installé dans le village natal de Lucienne.
À la mort de Georges, les regrets de Lucienne se sont faits plus forts. C’est alors que Martine est entrée dans sa vie. La vieille dame lui a donné tout l’amour dont elle avait besoin ; elle ne connaissait pas les lois, elle se débattait avec celles de l’administration, mais était guidée par celles de son cœur. Ce n’est pas sans raison qu’elle était aimée et respectée dans le village. Elle était une belle âme, généreuse et altruiste. Elle était la grand-mère idéale que tout le monde aimait. Elle ne demandait rien, mais ses voisins l’aidaient, car elle attirait la bienveillance.
On ressent le profond attachement que l’auteur a éprouvé pour ses personnages. L’on partage ses sentiments. Une dame de cœur est un roman de fiction, mais Jean-Pierre Barré s’est inspiré de personnes réelles. Il donne envie de connaître ces êtres attachants et sincères, simples et généreux. Il nous séduit par l’authenticité des faits et par leur ancrage dans le siècle passé.
J’ai ressenti le profond attachement que l’auteur éprouvait pour ses personnages. J’ai partagé ses sentiments. Une dame de cœur est un roman de fiction, mais Jean-Pierre Barré s’est inspiré de personnes réelles. Il donne envie de connaître ces êtres attachants et sincères, simples et généreux. Une dame de cœur est le troisième volet de la série Cœurs de terroir. Les ouvrages se lisent indépendamment, mais des passerelles existent entre eux. J’étais heureuse de retrouver des personnages que j’avais aimés dans Le fils du fusillé et dans Derrière ses rideaux. (Cliquez sur les titres pour découvrir mes chroniques). J’ai adoré toute la série. J’ai été séduite par l’authenticité des faits et par leur ancrage dans le siècle passé.
Je remercie sincèrement Jean-Pierre Barré pour sa confiance.
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